Une proposition de Paula Valero et Noémie Laviolle.
Dix-huit participants ont réalisé une marche autour de l’Île de la Cité avec un toit doré construit en couverture de survie. De grandes dimensions : 2.8m de large par 13m de long, ce toit a généré un espace de rencontre auquel pouvaient s’unir les passants qui s’approchaient.
Se déroulant à travers un espace public très contrôlé et muséifié, cette action ludique et poétique représentait une désobéissance face au formatage des corps, à l’individualisme et à l’indifférence. Porter et déplacer ensemble ce grand toit, fragile et flexible comme les vies de nombreuses personnes, a impliqué pour les participants une écoute, une expérience de mouvement collectif, une
autre façon d’être ensemble et a créé une image de l’hospitalité.
Dix-huit participants ont réalisé une marche autour de l’Île de la Cité avec un toit doré construit en couverture de survie. De grandes dimensions : 2.8m de large par 13m de long, ce toit a généré un espace de rencontre auquel pouvaient s’unir les passants qui s’approchaient.
Se déroulant à travers un espace public très contrôlé et muséifié, cette action ludique et poétique représentait une désobéissance face au formatage des corps, à l’individualisme et à l’indifférence. Porter et déplacer ensemble ce grand toit, fragile et flexible comme les vies de nombreuses personnes, a impliqué pour les participants une écoute, une expérience de mouvement collectif, une
autre façon d’être ensemble et a créé une image de l’hospitalité.